Avec l'abstraction qui n'en ai jamais vraiment, on se trouve un peu en présence d'un mystère où nos repères sont moins stables, et qui nous titille dans nos retranchements.
FELICITATION Iris pour notre français dans lequel tu mets beaucoup d'ardeur. Les signes que je dessine sortent instinctivement dans un mélange de conscient et d'inconscient.
Je reviendrais demain pour continuer à déchiffrer ce poème graphique. Pour moi, il est en trois parties. Magnifique vraiment, et même un peu magique. Donc... à demain. ELZA
Donc je reviens, comme promis. Bonjour Yanis. Cette dernière peinture me fait dire qu'il faut déchiffrer cette calligraphie très personnelle pour pénétrer à travers une porte rectangulaire. Il se passe quelque chose de mystérieux là-bas. Oui... mais quoi ? On peux imaginer un autre monde, un soleil, une étoile, et surtout un poème. J'aime bien cette idée. C'est sans doute la raison pour laquelle tes peintures me touchent. Désolée d'avoir été aussi bavarde. Je te souhaite un peu de soleil et toute la chaleur de l'amitié. ELZA
C'est toujours intéressant d'avoir le ressenti des autres sur son travail, ainsi l'Art produit de l'échange. Tu as tout à fait raison pour la porte rectangulaire que j'ai faite en grande partie inconsciemment (et c'est cela qui nous apprend des choses sur ns même) mais que j'ai voulu transparente. J'aime beaucoup l'idée du voile - bien sur SANS référence à la femme voilé - le voile qui sépare mais qui laisse subtilement entrevoir.
Quelques signes, en signature, ton signe distinctif... Je me promène de l'un à l'autre, en récréation dans ton mode d'expression !
RépondreSupprimerMerci Annick, avec la peinture, il y a pour celui qui regarde une appropriation, une récréation et en même temps une re-création.
Supprimer:-)
Difficile d'exprimer ce que j'aime beaucoup dans cette toile: tentative de perception peut-être.
RépondreSupprimerAvec l'abstraction qui n'en ai jamais vraiment, on se trouve un peu en présence d'un mystère où nos repères sont moins stables, et qui nous titille dans nos retranchements.
Supprimer:-)
Aurore immobile éternel...
RépondreSupprimerSe croiser sans jamais se rencontrer...
Ce jeter dans le ciel bleu...
Comme le voile qui sur la peinture
RépondreSupprimerrelie les deux parties, ce serait une grande joie de se rencontrer physiquement.
belle soirée Pascal
Pied de nez au virtuel
SupprimerUne rencontre possible...
Le doute s'éloigne
La Vraie Vie prend le dessus...
Merci à toi Yanis
je me demande si les signes sur la peinture sont accidentelles, ils attirent mon regard, je cherche des ressemblances :)
RépondreSupprimerFELICITATION Iris pour notre français dans lequel tu mets beaucoup d'ardeur. Les signes que je dessine sortent instinctivement dans un mélange de conscient et d'inconscient.
Supprimeramicalement
merci beaucoup Yanis :) amicalement :)
Supprimer
RépondreSupprimerJe reviendrais demain pour continuer à
déchiffrer ce poème graphique. Pour moi,
il est en trois parties. Magnifique vraiment,
et même un peu magique. Donc... à demain.
ELZA
RépondreSupprimerDonc je reviens, comme promis. Bonjour Yanis. Cette
dernière peinture me fait dire qu'il faut déchiffrer
cette calligraphie très personnelle pour pénétrer
à travers une porte rectangulaire. Il se passe
quelque chose de mystérieux là-bas. Oui... mais quoi ?
On peux imaginer un autre monde, un soleil, une étoile,
et surtout un poème. J'aime bien cette idée. C'est sans
doute la raison pour laquelle tes peintures me touchent.
Désolée d'avoir été aussi bavarde. Je te souhaite un peu
de soleil et toute la chaleur de l'amitié. ELZA
Chère Elza bonsoir,
SupprimerC'est toujours intéressant d'avoir le ressenti des autres sur son travail, ainsi l'Art produit de l'échange. Tu as tout à fait raison pour la porte rectangulaire que j'ai faite en grande partie inconsciemment (et c'est cela qui nous apprend des choses sur ns même) mais que j'ai voulu transparente. J'aime beaucoup l'idée du voile - bien sur SANS référence à la femme voilé - le voile qui sépare mais qui laisse subtilement entrevoir.
Je te souhaite Elza une douce soirée.