Cette nuit
dans l'air
de la nuit
ficelés
au lampadaire
les deux ballons
de l'anniversaire
se tournent autour
sans répit
YP
monique en écho !
Cette nuit, dans mon ciel
La lune éclaire les nuages de coton
J'ai laissé les volets mi-clos
Les ombres chinoises dans le jardin
Sont immobiles
Sur le fleuve en décrescendo
le moteur d'une péniche
Je n'ai pas sommeil
mon âme s'est attardée
dans la sérénade de Mozart
Pas de ballons chez moi... seulement des quantités
RépondreSupprimerde bougies. Je vais en allumer une en souhaitant
" happy birthday " à une personne inconnue. Et
puis j'écoute en même temps la petite musique de nuit.
Voilà... c'est fait. Bonne semaine Yanis . ELZA
Jolie vision :) Jour ou nuit... Mozart reste la musique du rêve...
RépondreSupprimerUne belle image, tournoyante et évocatrice de la joie d'être ensemble...
RépondreSupprimerMerci Elza, Ötli, Aloysia, une belle journée à vous :-)
SupprimerJ'ai beaucoup aimé les petits ballons au vent vestiges d'un anniversaire.....
RépondreSupprimer____
Cette nuit, dans mon ciel
La lune éclaire les nuages de coton
J’ai laissé les volets mi-clos
les ombres chinoises dans le jardin
sont immobiles
Sur le fleuve en décrescendo
le moteur d’une péniche
je n’ai pas sommeil
mon âme s’est attardée
dans la sérénade de Mozart
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me voici transporté
Supprimerassis sur la berge
lisant ce poème
dans l'odeur du fleuve...
:-)))
A deux c'est mieux
RépondreSupprimerEnlacés ce serait mieux...
Ils étaient bien deux,
Supprimeravec la nuit et moi, nous étions quatre.
J'aime les images que suggère on poème.
RépondreSupprimeramitiés
La poésie nous fait le Don d'images...
Supprimer:-)
Très beau poème Monique. ELZA
RépondreSupprimerTrès beau poème Monique. ELZA
RépondreSupprimerHeureuse Elza de partager avec vous ce poème de l'aura d'un soir.
Supprimerla ficelle finira par se délier
RépondreSupprimeret les ballons s'envoleront
le vent seul sait où
Tu as raison, on ne peut qu'espérer qu'ils se libèrent...
Supprimer:-))
Bonjour Yanis,
RépondreSupprimer-----
Ici, volent les notes dans l'air joyeux de la nuit... Silencieuse sympathie, Jack