Partir...
si bleue
si rouge
jusqu'à en devenir
sang couleur
mer
tu vomis tes enfants
que nous devrons désormais
prendre en coeur
Yp
monique
Dénoncer les faits
C'est vouloir tenter d'agir
La colère au ventre
Il y a ces délaissés
Nos frères et nos soeurs de coeur
Que d'émotion !
RépondreSupprimerVos mots si criants et "Lily" chanson inoubliable et de circonstance mêlant douleur et délicatesse.
Une douce pensée pour ceux qui partent, les oubliés de ce monde où l'argent domine tout au mépris de la vie.
Cordialement
Merci Françoise de réagir tout simplement avec votre coeur !
SupprimerBien Amicalement
avoir un coeur gros comme ça
RépondreSupprimerpour accueillir ceux arrachés
à leurs rêves
En effet, le verbe accueillir est important; déjà accueillir en conscience dans le coeur.
SupprimerBien à toi Marty !
Grave, très grave sujet Yanis qui ne peut laisser insensible ni muet et me hante... Nous ne sommes pas dans le fait divers mais dans un des problèmes majeurs qui se passe actuellement sous nos yeux, à la porte de chez nous ; pourquoi ? Pourquoi ? Tant de différences, d'injustices, de haine, de stupidité, de violences, d'égoïsme, de manque d'intelligence entre les hommes .... (Je reste polie) et qui dans le désespoir et la peur pousse tous ces êtres à fuir dans des conditions de vie extrêmes pour survivre et pour un autre contre-espoir cherchant la liberté, quelle liberté ? Elle n’est pas la même pour tous sur notre terre ? C’est quoi l’amour entre les êtres humains, je cherche…. Je n’aime pas parler ainsi tant cela semble dérisoire face à la gravité et l’importance du problème…. Mais …
RépondreSupprimerDénoncer les faits
C’est vouloir tenter d’agir
La colère au ventre
Il y a ces délaissés
Nos frères et nos sœurs de cœur
J’ai aimé réentendre la chanson de Lily elle demande à être bien écoutée !
L'histoire en quelque sorte se répète... et les médias nous informent et nous déforment, pris dans le déroulement rapide des événements. Mais le poète avec ses tous petits moyens, ses armes que sont les mots, se doit de ne pas mettre la tête dans le sable et d'élever sa voix, pour que le souffle vital entre nos frères et nos soeurs comme tu le dis si bien, continue de communiquer et de circuler. Et toujours revenir au Travail de mémoire.
SupprimerMail envoyé le 16 mai ?
Merci monique pour ta prise de position avec tes mots !
:-)))
- Qui frappe à ma porte?
Supprimer- Le loup? L'agneau? La peur?
- J'ai mis des volets sur mes yeux et je les ai fermés.
Supprimer- Une porte blindée sur mon coeur et mon âme assise devant le petit écran se noie dans mes océans.
Quel sentiment d'impuissance devant ce bleu, devant ce rouge!
RépondreSupprimerDÉSENCHANTÉS
RépondreSupprimerNous marchons sur la tête
depuis si longtemps ...
Le temps de la récolte arrivé,
tout est pourri
et les gens affamés
Quand l'homme marche sur la tête, la nature elle, marche et avance aux rythmes des saisons et de l'univers. Sachons à l'instar de la nature, transformer le pourri en récolte !
RépondreSupprimerJ'adore vraiment ton post!
RépondreSupprimerBonne soiree!
Photographe Gil Zetbase
http://www.gilzetbase.com/