Printemps
Un calme vert frais
exubérant déborde tout alentour,
dans l'air neuf enivré
remontant du souffle des origines
frétille le jeune feuillage
murmure l'eau vive
enveloppe l'invisible ambiant
veille le rocher mémoire des hommes
au vent parfumé le visage caressé
satisfait le coeur exulte,
dans l'innocence de l'instant
l'oiseau chante la vérité du monde
de celle que l'homme
devrait boire à la source...
YP
Palette de verts
Des fleurs au bord des ruisseaux
Coule l'eau claire
Charme au long des venelles
Entre les murets de pierre
monique
Printemps ou le vert tendre du renouveau ! Douceur fragile des jeunes pousses ! On ne peut résister , on respire à pleins poumons dans l'espoir du souffle nouveau, celui d'une nouvelle jeunesse ....peut-être..
RépondreSupprimerLe printemps nous aide dans nos petites renaissances...
SupprimerC'est déjà çà !
L'oiseau chante la vérité du monde
RépondreSupprimerde celle que l'homme
devrait boire à la source...
Voici ce qui me touche le plus dans ce poème cher Yanis.
Merci de nous l'avoir offert. Un beau cadeau.... ELZA
L'inspiration est une grâce qui nous donne l'occasion de semer des petites graines ou
Supprimerdes petites étoiles ****
Je t'embrasse chère Elza !
Sur un doux lit de roquette, le vent a semé une cosse de haricot. La pomme d’arrosoir y a versé une larme de rosée, créant un « cosse lit qu’eau ». Quelques fleurs de souci de leurs pétales ont fumé cette couche ou binette contre binette, coccinelle et puceron se sont endormis.
RépondreSupprimerLe jardinier, touché au plus profond de son cœur, sourit. Les petits secrets du jardin sont parfois coquins !
Des jardins secrets aux secrets au jardin, il n'y a qu'un pas, celui de la tendresse printanière !
Quand la nature se trompe, elle est encore géniale !
Supprimer:-)
Une poésie qui exprime de façon incroyable ce bonheur éprouvé ce jour lors d’une promenade, l’aura est celle-là même que tu décris, le murmure de l’eau, les couleurs, les sensations ressenties au plus profond de moi-même, alors c’est comme une communion au plus haut niveau qui me rend encore plus heureuse, merci Yanis.
RépondreSupprimerPalette de verts
Des fleurs au bord des ruisseaux
Coule l’eau claire
Charme au long des venelles
Entre les murets de pierre
Que serions nous sans la poésie ?
Supprimer...Pareille à des oiseaux sans ailes !
Merci monique, toujours de ton bel écho !-)))
il n'est pas très zen ce moine ...
RépondreSupprimeril faut qu'il aille se cloitrer peut-être
l'oiseau sait
ce que l'homme a oublié
depuis longtemps
ciao poète ami
C'est en effet la nature qui nous rappelle ce que l'on oublie par notre trop grand attachement à nous même...
SupprimerBelle journée avec ces chers compagnons : les mots !
Bel hymne à la nature printanière !
RépondreSupprimermerveilleux poème.
RépondreSupprimerAmitiés
merveilleux poème.
RépondreSupprimerAmitiés