quand les racines remontent ...
qu'un galet chaud ...
(fin de la vidéo)
parce qu'il fait chaud
très chaud trop chaud
que les cigales s'égosillent
que bouche bée
les carpes implorent le ciel
et les fontaines
de Jouvence redevenues
comme il est bon
de faire le plein de l'été
à pleines dents
croquer son faible souffle
flotter sur le dos de la mer
seulement le vaste ciel
et les cris des enfants
ou n'être plus
qu'un galet chaud
sur la grève
Yp
monique
Au soleil cuisant
l'empressement des cigales
à vouloir chanter
dans leurs vibrations stridentes
de cymbales désaccordées
je ne peux pas voir tes vidéos...mon plug-in est obsolète..par l'effet de la chaleur...je vais lui lancer un galet chaud..! biz
RépondreSupprimerUne musique aussi douce qu'un souffle d'air rafraichissant les pierres brûlantes...
RépondreSupprimerAh... les galets !! chez moi j'en ai partout : dans les tiroirs, les
RépondreSupprimerboîtes . Natures ou peints de couleurs diverses . Mais je les
préfère sur la grève... hélas le " Paris-plage" contient beaucoup
de sable, mais pas le moindre galet. J'aime beaucoup ton poème
que je trouve très joyeux. Je le recopie dans un de mes petits
carnets ( je ne fais pas confiance à mon ordi ). Tu as su choisir
une douce musique qui correspond tout à fait. A plus tard Yanis.
Je t'embrasse. ELZA
Chère Elza, tes deux beaux galets peints, sont posés sur ma table de nuit, éclairant
Supprimerl'ombre de leurs reflets d'or ...
à bientôt au téléphone !
La musique cristalline jaillie de la fontaine ou l'onde rafraîchissante de la harpe celtique sur les galets brûlants. Comme l'on sent bien l'été ici.
RépondreSupprimerMais, derrière les persiennes closes, la fraîcheur délicieuse
RépondreSupprimerBonsoir Yanis quel plaisir à lire ta poésie estivale par excellence..
RépondreSupprimerDans cette chaleur torride aucun autre mouvement que celui des vagues sur les eaux et celles à peine visibles sur les feuillages des hautes branches dans le bruit strident des cigales, qui aux heures chaudes vient troubler ce silence semblant être celui de l’éternité. L’humain réaccorde son rythme et tend vers l’inaction la plus totale savourant cette saison comme un bienfait divin.
Les doigts sur les cordes
la harpe sur les galets
le chant de l’été
musique poétique des anges
fraîche vague cristalline
- Et pourtant en contrepartie tout comme chez les humains en colère -
Au soleil cuisant
l’empressement des cigales
à vouloir chanter
dans leurs vibrations stridentes
de cymbales désaccordées
Chère monique, quel plaisir également en particulier de lire ton second tanka qui chante
Supprimervéritablement à l'oreille du coeur !
dans l'empressement des gens
le temps même ne s'y retrouve plus
il nous faut marcher d'un pas plus lent
pour voir les anges aux coins des rues
belle semaine Âmie des mots !
Le trop plein des bienfaits du soleil…
RépondreSupprimerBelles vibrations dans la chaleur de l'été...
RépondreSupprimerAmitiés
Belles vibrations dans la chaleur de l'été...
RépondreSupprimerAmitiés
BONJOUR Janis les cigales elles sont adorables mais trop nombreuses c'est pénible hélas
RépondreSupprimerMais c'est bien l'été*
bonne journée